jeudi 7 mars 2024

Ah, si j’avais un compte X !

Matoo nous fait une rétrospective sur son écriture bloguesque et la restitue dans l’épopée des blogs. Cela confirme s’il en était besoin que je suis arrivé à la fin de la période faste. Je suivais des blogs depuis quelque temps, assidu notamment du blog d’Oh où je participais au flot des commentaires, jusqu’à ce qu'un évènement nous rapproche. En parallèle des commentaires, nous commençâmes à échanger par messagerie. Il m’invitait à me jeter à l’eau et alla jusqu’à publier un de mes textes avant d'arriver à me convaincre.

samedi 2 mars 2024

Séries #6 le joli garçon

Le Scorpion : BD de Marini et Desberg
En recherchant dans les févriers bissextiles j’ai relu la relation de la rencontre en 2016 avec ce garçon si troublant. Il m’en reste quelques doux souvenirs, de ceux qui m’éloignent des jeunes hommes par cette peur de se perdre, comme ces deux que j’éconduisais ces derniers jours sur un site de rencontre au prétexte que je préfère les hommes plus mûrs.

jeudi 29 février 2024

La phrase

Je n'avais jamais écrit un 29 février. Je sais bien que cette phase peut paraître assez débile mais je suis sensible à des petites choses comme celle-ci que je peux noter dans mon livre secret sans qu'on me regarde bizarrement ou que j'entende comme un jour dans mon enfance s'échapper une phrase du style "quand je pense qu'on le dit si intelligent" parce que j'avais fait un commentaire incongru pour le commun des adultes.

mardi 27 février 2024

Ce silence glacial

Strawberry Theatre Workshop - Photo: John Ulman
C'était il y a plus de trente ans. La pièce de théâtre s'achevait dans un silence glacial. Vers la fin, des hommes en pardessus brun coiffés d'un borsalino avaient commencé à s'infiltrer dans les allées. Un puis deux, puis de plus en plus. Au début nous n'avions rien remarqué. Mais l'ambiance devenait pesante, des têtes ont regardé à droite, à gauche, nous avons fait de même. A la fin, les allées étaient pleines de ces hommes sinistres.

lundi 26 février 2024

Veni, lego, scripsi (vel non)

Comme Matoo je tiens ce blog avant tout pour moi, comme un journal intime où j'aime à revenir lire mes écrits. Mais je ne boude pas non plus le plaisir d’être lu et à l’occasion d’interagir via les commentaires. Février était déjà bien avancé, j’avais peu publié et pour autant les stats de lecture se mirent à grimper. Évidemment dans ces cas, on soupçonne les robots plutôt que les personnes physiques, d’autant que l'on voit s'accentuer le hiatus entre le total global de pages lues et la somme du total de chaque billet lu. Sachant que je ne peux me fier qu’aux données de Blogger ayant été incapable de paramétrer Google analytics lors du changement de version à l’été dernier. Ma petite fierté de geekounet en a pris un coup mais si tu veux m’aider ce sera avec plaisir.

dimanche 25 février 2024

Le colosse de la Défense

Je n’étais jamais allé dans ce coin de la Défense. Je devais participer une réunion dans la tour d’un grand groupe qui déploie beaucoup d’énergie. Une réunion bilatérale où je devais représenter l'interlocuteur externe face à une équipe de direction, je n'ose dire un staff. J'avais préparé la réunion à distance avec l'assistant du grand chef et j'avais été quelque peu troublé par sa prévenance extrême. En arrivant sur le parvis, je suis tombé sur le géant, la statue d'Icare du sculpteur Igor Mitoraj. On l'appelle aussi le Colosse.

vendredi 16 février 2024

A toi de jouer !

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La prochaine personne qui déposera un commentaire sur ce blog aura une surprise...

mercredi 14 février 2024

Carnet de voyage #16 de l'art du dessin

En recherchant une image dans mes nombreux dossiers photographiques, je trouve celle-ci et une autre à venir. Des photos recueillies au fil de mes voyages, un instantané, un moment impromptu, l'idée d'écrire quelques lignes sur ce sujet. Je reconnais le TGV Atlantique, souvent pris pour rejoindre Paris. En zoomant sur la vitre, on a peut-être une idée du dessin mais il me semble que la main le cache.

jeudi 18 janvier 2024

Carnet de voyage #15 dans leurs yeux


Je les ai observé discrètement toute une après-midi. L’un l’hétéro régulièrement déçu par ses amours féminines et souvent désabusé. L’autre, homo solaire épanoui et épris de vie simple.