samedi 24 mai 2014

Triste souvenir d'un corps médical

En ce moment chez Tto, c'est la dizaine du bambou magique. J'aime bien lire son blog et passer, au gré des jours et de ses séries, de sujets très sérieux à des choses plus délirantes, ou une combinaison des deux. L'un des derniers posts pourrait être sous-titré La sodomie pour les nuls. "Que ne t'ai-je lu plus tôt" commentais-je ! C'est vrai, à lire mon grand soir avec Pio, on pourrait s'étonner de ma découverte si tardive. A l'instar de Tto, je te rappelle d'abord que l'on "peut avoir des relations sexuelles sans qu'il y ait pénétration...", avec une pensée pour Lucien qui pour se dédouaner d'avoir fait l'amour avec moi m'avait dit quelques temps plus tard que ce n'était que du touche-pipi (Tu parles !).

En réalité, il m'a fallu du temps pour dépasser ce triste souvenir.

samedi 17 mai 2014

Au plaisir des courses

Comme tout le monde, je fais régulièrement des courses et il m'arrive d'être accroché par un sourire de vendeur ou d'être troublé par un physique qui me plait. Il y a un milieu qui est particulièrement intéressant pour les accroches masculines, celui des grossistes en matériel pour le bâtiment. C'est rare qu'il y ait des femmes dans ces hangars très techniques. Je ne parle pas des magasins de bricolage ni des diffuseurs de cuisine ou salles de bains où la gent féminine est plus répandue. Le milieu en question est masculin et affiche souvent son hétérosexualité. Pourtant il n'y a pas de raison objective à ce que les hommes à hommes y soient plus rares qu'ailleurs. Les décryptages sont seulement moins faciles que dans le milieu de la décoration.

dimanche 11 mai 2014

Gare !

Il m'était arrivé une seule fois de rencontrer une connaissance sur une aire de repos. C'était assez amusant. Il attendait au volant de sa voiture et quand il a m'a vu sortir de la mienne, il est descendu me saluer. Sans que je lui demande quoi que ce soit, il m'avait expliqué que revenant d'une longue tournée journalière il s'était arrêté pour se reposer un peu. L'explication n'a pas manqué de me surprendre car il ne lui restait que 10 km de route. Je n'ai pu m'empêcher de remarquer ses chaussures mouillée et couverte de brins de gazon. Était-ce un arrêt crapuleux qui l'avait conduit à s'égarer dans cette aire de repos aux pelouses fraichement tondue ? Cette aire était référencée sur le net pour les rencontres masculines mais je n'avais jamais pu le vérifier. Je restais dans le doute.

samedi 10 mai 2014

C'est bête

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10 jours loin, quasiment sans internet, un décrochage. J'aurais pu écrire un peu, préparer des posts. Des textes ont émergé dans ma tête mais je n'ai rien formalisé. Je suis entré dans un recueil de nouvelles d'Alice Munro. J'ai eu du mal à franchir le seuil mais c'est bien. Des histoires de vies de femme à la première personne ou presque. Avec le poids de l'ascendance et des convenances. Comment y échapper, ou pas. Mener sa vie.